Nakadai Saïga (uc)

■ Physique: (environ 10lignes)

Saïga présente une longue et solide silhouette d'1 m 84. Des années de pratiques de sport en tout genre, comme d'arts martiaux pour canaliser son trop plein d'énergie explosive, ont forgé une musculature très nerveuse. Il dégage ainsi de lui un mélange contradictoire de jeunesse comme de maturité, de décontraction comme de grande autorité. Son visage passe le temps d'un battement de cil d'un sourire franc et lumineux à la plus grande froideur. Et sa voix puissante et rauque couvre largement n'importe quels désordres.
Il déteste les costumes formels et choisit le plus souvent de trainer dans ses éternels jeans et teeshirts. Pourtant, sans être soucieux plus que cela de son allure, il porte avec la même élégance nonchalante le jean comme le costume plus classieux. Ainsi il ne peut se sentir déplacé dans aucun milieux ni parmi aucun groupe humain.
Mais il est recommandé de ne pas se tromper... son apparente nonchalance cache une énergie physique et mentale largement au dessus de la moyenne.
... Et Saïga n'a jamais perdu de ses années difficiles de très jeune homme, un charme de voyou qui plait incroyablement aux filles...

■ Mental: (environ 12lignes)


Saïga possède un abord quelque peu rugueux et peu démonstratif. On le trouve peu sympathique et parfois carrément détestable. Il faut dire qu'être aimé n'est pas sa première préoccupation. Il fait donc très peu d'effort pour plaire. On peut le considérer sans effort comme un misanthrope. L'humanité l'intéresse de moins en moins... Et ce sentiment a été grandement formé par un métier l'ayant amené à voir et découvrir ce que l'humanité à pu accoucher de pire.

Il semble désormais que le carburant qui alimente son âme pour avancer dans cette vie, soit la colère souvent terriblement brutale... A moi que cela soit l'amour qu'il voue à son fils.
Saïga ne semble d'ailleurs réserver son sourire que ce petit bout d'homme qui est devenu le centre de sa vie.
Pourtant, sa vie solitaire ne fait qu'accentuer son aspect bourru et sa tendance naturelle au spleen. Plus le temps passe, plus il devient inaccessible et plus son cœur se glace. On peut presque parler d'un exil intérieur... depuis la mort de sa femme.

Mais il ne faut oublier les qualités de Saïga comme une intégrité profonde qui semble le porter vers une absence de compromis. Et un grand don de soi dans le travail... Certes, photographier des corps de mannequins et des bouts de tissus et bien moins exaltant que de sauter en parachute avec son appareil photos, sur un pays en guerre...
Mais tout ce qu'il veut aujourd'hui, c'est que son fils ne soit pas orphelin de père après avoir perdu sa maman

■ Gouts: (environ 6lignes)


Évidement, avant toute chose, la photo est un des moteurs de sa vie... Il est encore un enfant, quand son oncle lui offre un appareil photo... et l'enfant prend en photo ce qui l'entoure. Mais il sait d'instinct ce qui est important. Venant d'un milieu modeste, il prend en photos les pauvres, les malheureux... plus tard, se sera les victimes de toutes les guerres...

Aujourd'hui, il prend en photo des corps très souvent refaits à coup de millions. Il s'amuse avec lui-même à faire la liste de ce qu'il voit d'origine. Et comme se travail, il photographie avec passion la nature... en évitant tout être humain.

Quand au reste de ses passions... cela tourne autour de tout ce qui est physique. Le sport l'aide à canaliser et extérioriser son agressivité. Et il cultive un talent certain et un peu inquiétant pour les sports de combat.

Il s'est découvert assez tard un gout pour la lecture. Certainement à cause d'une immobilisation forcée de plusieurs mois... Parfois, les accidents vous permettent de découvrir quelque chose de nouveau. Comme par exemple, que l'on aime la littérature Russe et Américaine

■ Points forts/faibles: ( 3 de chaque minimum)